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DITES A DIEU A VOS LUNETTES

TOP 7 DES QUESTIONS POSEES PAR LES PATIENTS A PROPOS DU LASER REFRACTIF TYPE transPKR
Le laser PKR est douloureux ?​

la procédure en elle même n'est pas douloureuse car elle se fait sous anesthésie locale (gouttes) mais les suites sont quand même marquée par une douleur modérée atténuée par le port de lentilles souples pendant quelques jours après l'opération cette douleur est ressenti et vécue différemment selon les individus  

 

Est ce qu'il y a des risques à cette chirurgie?

Le risque zéro n’existe pas, il n’existera jamais.
Mais avec cette technique on s’en rapproche beaucoup :Pas de contact : donc risque infectieux minimisé.
Pas de découpe ni volet cornéen : donc pas de risque de déchirure ou déplacement du capot si la découpe se passe mal ou si on bouge pendant l’opération ou si on se frotte les yeux après.
C’est vraiment la technique sécuritaire par excellence.
Rappelons également qu’elle est une amélioration de la PKR pour laquelle on a presque 30 ans de recul.

 

Quand pourrais je retourner au travail?

Dès disparition de la douleur et de l'inflammation post opératoire ld'autant plus que le floue visuel post opératoire est assez handicapant les premiers jours ;on juge qu'après cinq à sept jours la récupération est assez satisfaisante pour une reprise d'activité .

 

Est ce vrai qu'on touche pas l'oeil pendant la chirurgie?

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Absolument. Tout se passe à distance et c’est donc un traitement totalement indolore, on peut même s’abstenir de mettre l’écarteur à paupières pour ceux qui sont rebutés par cette perspective.
C’est du reste la seule technique réellement sans contact, contrairement au laser femtoseconde parfois qualifié abusivement de «100% laser », terminologie  qui pourrait laisser à penser que le femtoseconde ne comporte pas de manipulation sur l’œil ce qui est inexact.

Suis je apte pour une chirurgie réfractive ?un transPKR serait il la meilleure technique pour mon cas?

une consultation ophtalmologique complète avec des explorations pré-laser essentiellement une Topgraphie d'élévation type Penatacam est obligatoire afin de vérifier si votre cornée est apte : plusieurs données concernant la courbure l’élévation la pachymétrie (épaisseur cornéenne) sont analysées

Les cas ou la TransPKR est vraiment irremplaçable :
1/ Toutes les cornées, fines, présentant une topographie irrégulière, asymétrique, suspecte, faisant redouter des complications si l’on fragilise la cornée par un Lasik ou femtolasik.
2/ Tous les défauts visuels légers, myopie ou autres défauts visuels jusqu’à 2 ou 3 dioptries : pourquoi prendre le risque d’une découpe alors qu’on a maintenant une technique sans danger qui a fait ses preuves ?
3/ Tous les patients qui sont réfractaires à la perspective de tout contact ou manipulation sur leur yeux : c’est la seule technique sans contact ou le traitement se fait à distance.
4/ Les patients dont la profession (pompiers, militaires, policiers d’intervention) ou l’activité sportive (boxe, sports de combat, rugby) implique des chocs fréquents et violents.
De toutes les façons, seul l’examen préalable permettra de choisir la technique adaptée au cas par cas.

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Si la TransPKR est vraiment si intéressante pourquoi n'a-t-elle pas remplacé toutes les autres techniques?

D’abord, elle ne convient pas à tous les défauts visuels : pour notre part nous ne la proposons que pour les myopies inférieures à 6 dioptries, astigmatisme, hypermétropie ou presbytie jusqu’à 3 dioptries.
Ensuite, comparé au Lasik elle est plus douloureuse (surtout la première nuit)et le patient met plus de temps à récupérer une vision optimale avec le trans PKR.
Pour ceux qui veulent être corrigés et opérationnels dès le lendemain, le Lasik reste incontournable.

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